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Hausse des actions en mai malgré des difficultés en fin de mois

10 juin, 2024
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Contexte économique 

Les marchés boursiers mondiaux se sont redressés pendant la majeure partie de mai 2024, les signes de ralentissement de l’inflation et des données économiques plus faibles que prévu ayant renforcé l’optimisme des investisseurs quant à la possibilité que la Réserve fédérale (Fed) et d’autres grandes banques centrales passeront à un cycle de réduction des taux d’intérêt d’ici la fin de l’été. Toutefois, les actions ont subi une baisse au cours de la dernière semaine du mois après que le président de la Fed de Minneapolis, Neel Kashkari, a évoqué la possibilité d’une hausse des taux d’intérêt. Lors du Forum international Barclais-CEPR sur la politique monétaire qui s’est tenu à Londres le 28 mai, M. Kashkari a déclaré : « Je pense que les chances que nous relevions les taux sont faibles, mais je ne veux pas en écarter la possibilité. » M. Kashkari n’est pas un membre votant du Federal Open Market Committee (FOMC), l’organe de politique monétaire de la Fed chargé de fixer le taux des fonds fédéraux.

Les pays nordiques ont été les plus performants parmi les marchés boursiers développés en mai, avec en tête la Norvège et la Finlande. L’Amérique du Nord a également enregistré un gain notable, principalement en raison d’une forte reprise aux États-Unis. L’Extrême-Orient a enregistré une performance positive pour le mois, mais a été le principal marché développé à la traîne en raison de la faiblesse relative du Japon et de Hong Kong. L’Europe a été le marché émergent le plus performant au cours du mois, principalement grâce à la vigueur en République tchèque. À l’inverse, l’Amérique latine a affiché une performance négative et a été la moins performante sous l’effet de la faiblesse du Brésil.

Les actifs mondiaux à revenu fixe, tels que mesurés par l’indice Bloomberg Global Aggregate Bond, ont gagné 1,3 % en mai. Les titres adossés à des créances hypothécaires ont été les plus performants sur le marché américain des titres à revenu fixe, suivis par les obligations d’entreprises, les titres du Trésor américain et les obligations à rendement élevé. Les rendements des titres du Trésor ont baissé pour toutes les échéances de six mois ou plus. Les rendements des bons du Trésor à 2, 3, 5 et 10 ans ont diminué de 0,15 %, 0,18 %, 0,20 % et 0,18 %, respectivement, en mai. L’écart entre les billets à 10 et 2 ans est passé de -0,35 % à -0,38 % au cours du mois, et la courbe des rendements est restée inversée.

Les prix mondiaux des matières premières, mesurés par l’indice de rendement total Bloomberg Commodity, ont progressé de 1,8 % en mai. Les prix du pétrole brut West Texas Intermediate et Brent ont chuté de 4,9 % et 6,0 %, respectivement, sous l’effet des craintes que le ralentissement de la demande d’essence n’entraîne une baisse des prix du pétrole. Le prix du gaz naturel sur le New York Mercantile Exchange (NYMEX) a bondi de près de 30 % au cours du mois en raison d’une forte demande et d’une baisse de la production aux États-Unis. Le prix au comptant de l’or a augmenté de 1,9 % en mai, ce qui s’explique par la poursuite du conflit entre Israël et le Hamas, qui a incité les investisseurs à rechercher des placements « sûrs », ainsi que par la faiblesse du dollar américain. (Le prix de l’or évolue généralement à l’inverse du dollar américain.) Les prix du blé ont grimpé de 12,5 % au cours du mois, entraînés par les spéculations selon lesquelles des précipitations inférieures à la moyenne en Russie et dans les plaines du sud des États-Unis pourraient entraîner des contraintes en matière d’approvisionnement.

Selon les minutes du FOMC du 30 avril et du 1er mai, publiées le 2 mai, les membres ont réitéré leur opinion selon laquelle le taux d’inflation reculerait à 2 % à moyen terme. Cependant, ils ont averti que les données récentes n’avaient pas renforcé leur confiance et ne les avaient pas convaincus que des progrès avaient été réalisés vers le niveau de 2 %. Par conséquent, les participants du FOMC ont souligné que « le processus de désinflation prendrait probablement plus de temps que prévu. » Les membres ont également discuté de la nécessité de maintenir une politique monétaire restrictive pendant une période plus longue si l’inflation ne « montre pas de signes de progression durable vers 2 % ou de réduire la politique de restriction dans le cas d’un affaiblissement inattendu des conditions du marché du travail. Plusieurs participants ont fait part de leur volonté de resserrer davantage la politique [monétaire] si les risques pour l’inflation se matérialisaient d’une manière telle qu’une telle action deviendrait appropriée. »

À la fin du mois de mai, l’outil FedWatch de CME Group indiquait qu’il y avait 15 % de chances que la banque centrale procède à une première baisse de taux de 25 points de base (0,25 %) à l’issue de sa réunion des 30 et 31 juillet. L’outil FedWatch donne une idée des attentes des marchés concernant les changements potentiels du taux cible des fonds fédéraux, tout en évaluant les actions potentielles de politique monétaire de la Fed lors des réunions du Federal Open Market Committee (FOMC). L’outil FedWatch reflète une probabilité de 49 % que la banque centrale réduise le taux des fonds fédéraux de 25 points de base dans une fourchette de 5,00-5,25 % lors de sa réunion des 17 et 18 septembre. La prochaine réunion du FOMC est prévue pour les 11 et 12 juin.

Banques centrales

  • Près de 11 mois après sa dernière hausse de taux, la Banque du Canada est devenue la première banque centrale d’un marché développé important à assouplir son taux directeur en le réduisant de 0,25 % pour le faire passer à 4,75 %, lors de la réunion du 5 juin. De plus, la Banque du Canada continuera à normaliser son bilan par le biais d’un resserrement quantitatif. Dans son communiqué de presse, la Banque du Canada a souligné que la croissance mondiale était solide, à environ 3 %, même si la croissance a ralenti en Amérique du Nord. Elle a aussi mentionné que l’inflation, bien que toujours élevée dans de nombreuses économies développées, continue de se rapprocher de l’objectif de la Banque du Canada. Dans ce contexte, la Banque du Canada a décidé que la politique monétaire pourrait être moins restrictive à l’avenir, malgré les inquiétudes persistantes concernant le risque d’une nouvelle accélération de l’inflation. La prochaine réunion de la Banque du Canada est prévue pour le 24 juillet.
  • Le 21 mai, lors d’une intervention au Peterson Institute for International Economics à Washington, DC, Christopher J. Waller, le gouverneur de la Fed, a reconnu que l’inflation a été plus difficile à maîtriser que la banque centrale ne l’avait anticipée. Toutefois, il a noté que « les données plus récentes sur l’économie indiquent que la politique monétaire restrictive contribue à refroidir la demande globale et les données sur l’inflation pour avril suggèrent que la progression vers les 2 % a probablement repris. » Les banquiers centraux ne devraient jamais dire jamais, mais les données suggèrent que l’inflation n’accélère pas, et je pense que de nouvelles augmentations du taux directeur ne sont probablement pas nécessaires. » M. Peterson a noté que les données du mois d’avril indiquaient que l’économie pourrait être en train de se refroidir, en citant la stagnation de la croissance des ventes au détail, le recul de l’activité manufacturière et commerciale, ainsi qu’un ralentissement du marché du travail.
  • La Banque d’Angleterre a laissé le taux d’escompte inchangé à 5,25 %, son plus haut niveau en 15 ans, à l’issue de sa réunion du 8 mai. Dans son annonce de la décision sur les taux, la Banque d’Angleterre a commenté : « La politique monétaire devra rester restrictive pendant suffisamment longtemps pour ramener l’inflation à l’objectif de 2 % de manière durable à moyen terme, conformément à la mission du [Comité de politique monétaire]. Depuis l’automne dernier, le Comité estime que la politique monétaire doit être plus restrictive pendant une période prolongée jusqu’à ce que le risque que l’inflation s’installe au-dessus de l’objectif de 2 % se dissipe ». La Banque d’Angleterre a cité plusieurs pressions inflationnistes, notamment l’étroitesse du marché du travail, la croissance des salaires et l’inflation des prix des services.
  • La Banque centrale européenne (BCE) a laissé son taux d’intérêt de référence inchangé à 4,50 % à l’issue de sa réunion du 11 avril, mais a laissé la porte ouverte à d’éventuelles baisses de taux dans un avenir relativement proche. Dans un communiqué annonçant la décision sur les taux, le Conseil des gouverneurs de la BCE a indiqué que ses actions à venir : feront en sorte que ses taux directeurs restent fixés à des niveaux suffisamment restrictifs, aussi longtemps que nécessaire. Si l’évaluation actualisée, par le Conseil des gouverneurs, des perspectives d’inflation, de la dynamique de l’inflation sous-jacente et de la vigueur de la transmission de la politique monétaire devait encore renforcer sa confiance dans la convergence durable de l’inflation vers l’objectif, il serait opportun de réduire le caractère restrictif actuel de la politique monétaire. » La déclaration de la BCE a renforcé les espoirs de voir la banque centrale s’orienter vers des réductions de taux lors de sa prochaine réunion début juin.
  • Dans son Résumé des opinions de la réunion de politique monétaire des 25 et 26 avril, la Banque du Japon a noté que « l’économie japonaise s’est légèrement redressée, bien qu’une certaine faiblesse ait été observée. Elle devrait continuer de croître à un rythme supérieur à son taux de croissance potentiel, à mesure que s’intensifie progressivement un cercle vertueux entre revenus et dépenses ». En ce qui concerne la politique monétaire, la banque centrale a déclaré : « Si les perspectives de l’activité économique et les prix se concrétisent et que l’inflation sous-jacente augmente, la Banque ajustera le degré d’accommodement monétaire, tout en prévoyant le maintien de conditions financières accommodantes pour le moment. » La Banque du Japon a maintenu son taux d’intérêt de référence dans une fourchette de 0,0 % à 0,1 % après sa réunion de fin avril. La prochaine réunion de la banque centrale est prévue pour les 13 et 14 juin.

Données économiques  

(sauf indication contraire, données provenant de Bloomberg)

  • Selon Statistique Canada, les prix à la consommation (mesurés par la variation de l’indice des prix à la consommation [IPC]) ont augmenté de 0,5 % en avril, soit un léger recul comparativement à la hausse de 0,6 % enregistrée le mois dernier, en raison de l’augmentation des prix de l’essence. L’augmentation de 2,7 % d’une année sur l’autre constitue une légère diminution par rapport à l’augmentation annuelle de 2,9 % en mars. Entre-temps, les prix à la production ont fortement augmenté en avril, l’indice des prix des produits industriels (IPPI) ayant progressé de 1,5 % et l’indice des prix des matières premières (IPMR) ayant fait un bond de 5,5 %. En glissement annuel, les prix ont augmenté de 1,4 % et de 3,1 % respectivement, pour l’IPPI et l’IPMB. Les prix des métaux et de l’énergie sont à l’origine de la réaccélération des prix à la production. La situation de l’emploi n’a guère changé, l’économie canadienne ayant enregistré une hausse de 27 000 emplois en mai. Le taux de chômage a augmenté de 0,1 % pour atteindre 6,2 %, ce qui représente une augmentation de 0,9 % d’une année sur l’autre. Les gains en matière d’emploi pour le mois de mai ont été entièrement réalisés par les jeunes travailleurs et les travailleurs plus âgés, l’emploi pour les personnes en âge de travailler (âgées de 25 à 54 ans) ayant en fait diminué.
  • Le département du Travail américain a indiqué que l’indice des prix à la consommation (IPC) avait augmenté de 0,3 % en avril, ce qui est légèrement inférieur à la hausse enregistrée en mars. La progression de 3,4 % de l’indice en glissement annuel était conforme aux attentes du marché et légèrement inférieure à la hausse annuelle de 3,5 % enregistrée en mars. Les prix du logement et de l’essence ont représenté environ 70 % de la hausse de l’IPC d’un mois sur l’autre. Les coûts du logement ont augmenté de 0,4 % et de 5,5 % en avril et en glissement annuel, respectivement, tandis que les prix de l’essence ont affiché des hausses correspondantes de 2,8 % et de 1,2 % en avril et au cours de la période de 12 mois précédente. Les prix sont restés stables en avril, après une hausse de 0,1 % en mars, et ont augmenté de 2,2 % d’une année sur l’autre, ce qui correspond à la hausse annuelle du mois précédent. La hausse de 3,6 % de l’inflation de base sur la période mobile de 12 mois, mesurée par l’IPC pour tous les articles moins les aliments et l’énergie, était en baisse de 0,2 point de pourcentage comparativement à la hausse d’une année sur l’autre en mars, et représentait la plus faible augmentation annuelle depuis avril 2021. Selon la deuxième estimation du département du Commerce, le produit intérieur brut (PIB) des États-Unis a augmenté à un taux annualisé de 1,3 % au premier trimestre 2024, ce qui représente une forte baisse relativement à la hausse de 3,4 % enregistrée au quatrième trimestre 2023. Le dernier chiffre représente une baisse par rapport à l’estimation initiale de 1,6 % pour la croissance du PIB au premier trimestre. Ce changement a été attribué à des révisions à la baisse des dépenses de consommation, des investissements en stocks privés (une mesure des changements de valeur des stocks d’une période à l’autre) et des dépenses du gouvernement fédéral. Ces révisions ont été partiellement compensées par des révisions à la hausse des dépenses des administrations locales et d’État, des investissements fixes non résidentiels (achats de structures non résidentielles, d’équipements et de logiciels), des investissements fixes résidentiels (achats de structures résidentielles privées et d’équipements résidentiels que les propriétaires utilisent à des fins de location) et des exportations.
  • L’Office of National Statistics (ONS) a indiqué que l’inflation au Royaume-Uni, mesurée par l’IPC, a augmenté de 0,3 % en avril, en baisse comparativement à la hausse de 0,6 % enregistrée en mars. La progression de l’IPC de 2,3 % d’une année sur l’autre est nettement inférieure à l’augmentation annuelle de 3,2 % enregistrée le mois précédent. Les principaux facteurs ayant contribué à la hausse de l’inflation sur 12 mois sont l’alcool et le tabac, ainsi que les soins de santé. Ces facteurs ont plus que compensé la baisse des coûts du logement et des services aux ménages, ainsi que des meubles et des articles ménagers. L’inflation de base, qui exclut les prix volatils des denrées alimentaires, a augmenté à un taux annuel de 3,9 % en avril, en baisse par rapport à l’augmentation de 4,2 % d’une année sur l’autre en mars. Selon l’estimation initiale de l’ONS, le PIB du Royaume-Uni a augmenté de 0,4 % en mars (dernière période de référence), après une hausse de 0,2 % en février. Le PIB a augmenté de 0,6 % au cours de la période de trois mois se terminant le 31 mars. La production dans les secteurs de la fabrication et des services a augmenté respectivement de 0,5 % et de 0,2 % en mars, tandis que la production dans le secteur de la construction a baissé de 0,4 %.
  • Eurostat a estimé le taux d’inflation de la zone euro à 2,4 % pour la période de 12 mois se terminant en avril, ce qui correspond à la hausse annuelle enregistrée en mars. Les coûts dans le secteur des services ont augmenté de 1,6 % au cours de cette période. Les prix de l’alimentation, de l’alcool et du tabac ont augmenté de 0,6 % d’une année sur l’autre en avril, mais le rythme d’accélération s’est considérablement ralenti par rapport au taux annuel de 2,6 % enregistré le mois précédent. Les prix de l’énergie ont baissé de 0,6 % sur les 12 derniers mois, après une baisse annuelle de 1,8 % en mars. L’inflation de base, qui exclut les prix volatils de l’énergie et de l’alimentation, a augmenté à un taux annuel de 2,7 % en avril, soit une baisse de 0,2 point de pourcentage par rapport à la hausse de 2,9 % en mars. Eurostat a également indiqué que le PIB de la zone euro a légèrement augmenté de 0,3 % au cours du premier trimestre 2024, après une stagnation au quatrième trimestre 2023, et qu’il a progressé de 0,4 % en glissement annuel. Les économies de l’Irlande, de la Hongrie et de la Lituanie ont été les plus performantes au premier trimestre, avec une croissance de 1,1 %, 0,8 % et 0,8 %, respectivement. À l’inverse, le PIB de la Suède a reculé de 0,1 % au cours du trimestre.

Données indicielles (mai 2024) 

  • L’indice composé S&P/TSX a augmenté 2,77 %.
  • L’indice obligataire universel Canada FTSE TMX a gagné 1,77 %. 
  • L’indice S&P 500, qui mesure les actions américaines, a affiché un rendement de 4,14 %.
  • L’indice MSCI Monde tous pays (net), utilisé comme étalon pour évaluer le rendement des actions mondiales, a grimpé de 3,25 %.
  • L’indice ICE BofA US High Yield Constrained, qui représente les marchés obligataires américains à rendement élevé, a produit 1,08 % (couvert contre le risque de change) et 0,35 % (non couvert). 
  • L’indice de la volatilité de la bourse d’options de Chicago, une mesure de la volatilité implicite de l’indice S&P 500 aussi connue sous le nom d’« indice de la peur », a diminué, passant de 15,65 à 12,92 à la fin du mois.
  • Les cours du pétrole brut WTI Cushing, un indicateur clé des fluctuations du marché pétrolier, ont reculé, passant de 81,93 $ US à 76,99 $ US le baril à la fin de mai. 
  • Le dollar canadien s’est légèrement raffermi, atteignant 1,36 $ CA par $ US. Le dollar américain s’est en général affaibli par rapport aux principales devises mondiales. Il a terminé le mois de mai à 1,09 $ US contre l’euro, à 1,27 $ US contre la livre sterling et à 157,15 yens.

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